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 Chronique d'un spectre

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nokumi
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nokumi


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Date d'inscription : 10/04/2009

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MessageSujet: Chronique d'un spectre   Chronique d'un spectre EmptySam 3 Oct - 16:21

c'est quelqu'un d'un forum qui créer un livre

PROLOGUE
A ses pieds la ville flambait. Les cris résonnaient dans l’air de la nuit et les flammes jetaient des ombres sur sa cuirasse.Un soldat escaladât la butte et fit un bref salut.-La cité a été pillée et embrassé. Nul n’a pus en réchapper.L’homme à la cuirasse sourit.-Bien. Que dix hommes parcourent le royaume et annoncent que Hilsbrad n’existe plus. Je veux que chaque être humain, des Mont Agnes à la mer d’Ier, du désert au frontière d’Antar, soit au courant de la mort du dernier roi d’Hilsbrad. Quand aux troupes, qu’elles se rassemblent et se tienne prête à rentrer à la capitale.Le soldat s’inclina et descendit la butte.
L’homme à la cuirasse sourit.
Il murmura:
-L’age d’Hilsbrad est terminé. Le temps de la suprématie d’Antar est désormais commencé.
Il se retourna, quittant la contemplation de la ville en flamme et descendit rejoindre l’armée installée au pied de la butte

et premiere partie.

11/12/08 calendrier impérial commencé a la chute d’Hilsbrad.
10 heures du matin.


Je m’ennuie. Je suis en cours d’histoire. Et je m’ennuie. Pendant que la prof raconte les invasions et les guerres de l’empire, moi, assit au fond de la classe, je regarde la salle. A côté de moi, mon copain, Alexis, dit Alex, dessine sur son cours. Il illustre les propos de la prof par des petits bonhommes qui se battent devant une grande tour.
De l’autre coté, Florian, dit Flo. Lui c’est l’intello du groupe et bien sur il note tout.
Devant nous, la classe est rivée aux lèvres de la prof. En même temps, les guerres de l’empire c’est intéressant, mais moi j’ai arrêté d’écouter à cause de ma jambe.
Moi, Cyril, dit Cyr, ni intello ni totalement cancre, je m’occupe de faire marcher ce qui marche encore. En effet, blesser à 5 ans par l’explosion d’une bouteille de gaz, je n’ai plus autant de possibilité que les autres. Le nerf de ma jambe a décidé de prendre des congés et le muscle l’a suivit, alors, quand j’ai trop mal, je me bourre avec un mélange de mon cru à base d’aspirine et d’eau, avec une goutte de piment pour le goût. Le problème c’est que la bouteille est dans mon casier.
Et connaissant la prof elle ne me laissera jamais sortir.


Alors tant pis ; je simule un horrible mal de ventre et lève la main.
-Oui? Interrogea la prof, clairement embêtée d’être dérangée.
-Madame, je peux aller à l’infirmerie ? Demandais-je en simulant toujours une douleur intense.
-Oui vas y. Alex tu l’accompagnes, ça évitera que ton cours soit noircit de dessin stupide et sans intérêt.
Nous nous levons, traversons la classe et sortons dans le couloir où Alexis me regarde et me dit :
-Tu ne sembles pas avoir trop mal. Il se passe quoi?
- On fait un détour par les casiers et on revient dans dix minutes. Il faut que la prof croit qu’on est vraiment allé à l’infirmerie.
-Ta jambe?
-Oui
-Prie pour qu’il n’y ai pas de pion sur le chemin.
On a alors pris la direction des casiers en évitant les pions.
Une fois arrivé là-bas, j’ai pris une gorgée de ‘‘mixture’’ et glissé la bouteille dans ma poche.
On a alors repris le chemin de la classe. Et on n’y est jamais arrivé.


Au bout de 10 mètres, je me suis arrêté.
-Impérial droit devant ! Dis-je en arrêtant Alex du bras.
-Aïe.
On a cherché une planque et finalement Alex s’est glissé sous les casiers et moi je me suis planqué derrière. J’entendais les bruits de pas se rapprocher et des voix de plus en plus nettes.
-Mais enfin, vous ne pouvez pas faire ça ! disait la première voix apparemment alarmé.
-Ordre de l’empereur ! Seuls les volontaires pour le moment, estimez vous heureux.
Cette voix là était plus grave, calme mais implacable, plus raide que la justice. Je la connaissait pour l’avoir déjà entendu : Yann, ‘‘le’’ général impérial, représentant de la justice dans les provinces conquises.
-Je m’adresserai à vos élèves personnellement ; reprit-il. Je compte sur vous pour les réunir.
Ils étaient à présent éloignés. Je risquai un regard vers eux. Le proviseur se tenait courbé devant un type assez grand, revêtu d’une armure intégrale, d’un casque ne laissant pas voir son visage et d’une longue cape noir qui traînait derrière lui. Ils étaient suivis par deux soldats revêtus d’une cuirasse blindée gris métal portant le blason de l’empire : l’aigle a deux têtes.
C’est alors qu’Alex fit la chose la plus stupide qu’il pouvait faire à ce moment là : en sortant de sous les casiers, il se relevait et… il a éternué.
-Oups


Le proviseur s’est relevé, les impériaux se sont retournés et tout le monde nous a regardé. Je suis sortit de ma cachette et j’ai dit a Alex :
-Cherchons le salut dans la fuite stratégique.
-C'est-à-dire ?
-En gros : Courage fuyons !
On s’est alors mis a courir dans les couloirs, expérimentant la technique de la ‘‘débandade totale sans un regard en arrière’’, le proviseur à nos trousses.
Au détour d’un couloir, j’aperçu une solution : un boîtier rouge sur le mur : l’alarme incendie.
Je courais vers le boîtier et tapais un grand coup dedans.
Alex, qui avait compris mon idée se bouchât les oreilles. L’alarme retentit et les portes des classes se sont ouvertes sur des élèves plus ou moins paniqués qui se dirigeaient vers la cour.


Le proviseur nous a rattrapé et, nous tenant par le bras, nous a amenés devant le général impérial.
-Voila les ‘‘ éternueurs ’’, votre grandeur.
-lèche-cul ! Murmura Alex.
-Suffit ! répliqua l’impérial aussi calme que d’habitude. Je vais avancer mes plans. Vos élèves sont réunis ? Je vais en profiter !
-Bien, je vous emmène à la cour.
Toujours tenu par le proviseur, on est donc allés vers la cour, suivit par les trois impériaux.


Arrivés là bas, le proviseur nous a renvoyés dans notre classe et commença a parler : il présenta Yann et vanta l’empire jusqu'à être coupé par le général qui prit la parole. Pendant ce temps, Alex et moi, on allait rejoindre Flo au fond du rang de notre classe.
-Alors, vous étiez où ?
-On est tombé sur l’impérial en retournant en classe.
-Je compatis.
L’impérial, quant a lui, venait d’annoncer que les volontaires seraient recrutés dans l’armée pour se préparer à contrer un assaut de Galbadia.








* * *

Pendant ce temps, sur le toit, deux silhouettes regardaient la scène.Le premier homme était en amure de chevalier et portait une longue cape noire, mais elle n’était pas vraiment noire : le noir est l’absence de lumière, cette cape semblait plutôt l’aspirer. Il en dépassait une épée courte à la hanche et une épée a deux mains dans son dos. Ses yeux noirs brillaient d’un air maléfique, quand une mèche de cheveux noirs ne les cachait pas.L’autre, resplendissait d’un aura de lumière et ses yeux bleu très clair, trop peut-être, brillaient de vie.-Je pense que c’est le moment, dit le premier en se relevant sur un genou.-Il faudrait pas trop tarder effectivement. Répondit le deuxième en se relevant également. Sa cape blanche étincelait au soleil.L’homme sombre leva la main, traça un T dans le vide, encercla cette lettre et la toucha avec sa paume avant de designer Flo, Alex, et Cyr de cette même main.Il y eu alors un éclair lumineux et ils disparurent, aussi bien les deux hommes que les trois lycéens.
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